N’importe qui peut être concerné par des sautes d’humeur. Sur un court ou un long terme, il s’agit d’une situation désagréable et qu’il est préférable d’éviter. De plus, les personnes aux humeurs instables se retrouvent souvent, et malgré elles, dans des situations difficiles qu’elles ont du mal à gérer. Cela peut être dû à un changement d’environnement, une charge de travail importante, une fatigue accumulée ou encore l’arrêt de la cigarette etc. Face à une même situation, selon la façon dont elles se sentent à ce moment là, elles peuvent réagir complètement différemment: une fois avec un petit sourire au bord des lèvres, et une autre fois en se mettant dans une colère noire.
Quelles sont les conséquence de ce genre de comportement ? Ce type de comportement peut avoir des effets plus ou moins négatifs. La personne lunatique est en proie à un conflit intérieur qu’elle a du mal à gérer. Le comportement qu’elle adopte peut alors refléter un stress ou un mal-être qu’il ne faut pas négliger. De plus, son comportement peut rapidement entraîner une irritation de son entourage qui ne fera alors qu’alimenter cette situation. Ce climat pessimiste peut s’avérer dangereux pour l’environnement familial, tant pour le couple, qui en souffrira, que pour l’enfant. Ce dernier ne peut en effet prendre de recul face à ces situations, petit il n’a pas la capacité de raisonner pour trouver une explication qui soit indépendante de lui. Il sera alors angoissé car il verra ses repères comme étant instables et n’arrivera pas à cerner les causes de ces réactions brutales. Il pensera qu’il est la cause unique de ce comportement, imaginera qu’il provoque à lui seul les conflits dans sa famille et ressentira alors une grande culpabilité sans savoir comment faire pour y remédier. Il sera, en outre, très déstabilisé: une fois un rit lorsqu’il fait telle bêtise, et l’autre fois on le gronde sévèrement pour cette même bêtise. Quoi de plus insécurisant et angoissant que de ne pas savoir ce que ses actions vont provoquer chez ses parents?
Quelles solutions ? Pour palier à ce genre de comportements qui peuvent s’avérer risqués, il existe plusieurs solutions. Tout d’abord l’individu lunatique doit prendre conscience de son comportement, grâce à une aide extérieure, le reconnaître et reconnaitre les conséquences néfastes. Un dialogue construit et efficace est plus facile à mettre en place avec quelqu’un de neutre qu’avec un membre de sa famille qui peut se voir rejeté. Le but est de s’interroger sur la véritable cause du problème pour traiter ce dernier à sa source. Si vous vous sentez concernés pas ce sujet, sachez que c’est difficile de se corriger seul. Nous ne sommes pas objectifs sur nous-même et notre entourage peut vite nous irriter à vouloir nous aider. Il faut arriver à observer les situations dans lesquelles la colère monte, ce qui se passe à ce moment là qui fait que vous réagissiez ainsi, vos émotions, vos ressentis… Mais je vous rassure, les professionnels sont là pour vous guider et vous accompagner!
Je trouve votre article difficile à suivre. Le titre laisse croire que vous développerez sur les causes, les effets, les difficultés des enfants qui souffrent d’angoisse. Dans l’introduction, je comprend qu’il est question des humeurs insables. Le 2ième paragraphe, quand je lis « Il sera alors angoissé car il verra ses repères comme étant instables et n’arrivera pas à cerner les causes de ces réactions brutales. » Ici, il ne sagit pas d’angoisse mais bien d’anxiété.
Au 3ième paragaphe, vous débutez en parlant d’une personne lunatique pour évoluer vers les solutions pour identifier les causes d’un exès de colère. J’ai de la difficulté à vous suivre.
Je vous suis sur Twitter ainsi que sur Facebook. Vos titres attirent souvent mon attention, vu mon intérêt pour l’éducation et surtout sur les enfants ayants des besoins particuliers. Sans aucune méchancetée, je suis souvent déçu après la lecture de vos articles. Soit, comme dans ce texte sur l’angoisse de nos enfants, le titre m’accroche mais le texte n’est pas clair et manque de pertinance. Je me serais attentdu à par exemple:
– Anxiété ou angoisse? La différence est notable.
L’ANXIÉTÉ non contrôlé peut mener à une désorganisation de l’individu qui se manifeste souvent par la colère. L’ANXIÉTÉ non contrôlé peut évoluer avec des sensations d’angoisse; palpitations, sueur, agitation, maux de ventre, impression de suffoquer, etc.
Les sensations psychologiques que l’individu ressent constituent l’anxiété. Les sensations physiques qui accompagnent l’anxiété ou qui se présentent parfois sans sensation psychologique sont de l’angoisse. Il est important d’en faire la différence.
Souvent, surtout chez les jeunes enfants, on parle plus d’anxiété ou de phobies que d’angoisse; anxiété de performance, anxiété de séparation, phobie sociale, phobie scolaire, etc.
Mon commentaire ce veux constructif, je ne porte pas de jugement.
C’est une question bien complexe. Il m’est difficile de répondre, chaque enfant est unique.